Gomawo, le guide des bons plans de la CoréeLa Vague sud-coréenne (hallyu) de produits culturels (K-pop, séries, cinéma, gastronomie, etc.) déferle depuis plusieurs années sur l’Hexagone et touche désormais un public de plus en plus large et jeune. Nombreux sont ceux qui veulent partir à la découverte de la culture coréenne sur place - encore faut-il avoir quelques repères dans ce pays lointain et encore si méconnu ! Ce guide illustré propose de partager tous les bons plans pour un séjour réussi (de courte ou de longue durée) : restaurants, hébergement, shopping, transports, communication, escapades... Tout ce qu’il faut savoir pour voyager et résider pas cher, mais pas cheap !
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![]() Ce guide original, régulièrement mis à jour, illustré, collaboratif et rédigé par des jeunes ayant vécu à Séoul, n’est pas un guide de voyage traditionnel ni un guide culturel : c’est plus que cela, c’est le compagnon du quotidien en Corée.
“Gomawo” : merci, tout simplement ! Dans la couverture de ce guide, il est possible d’insérer les Carnets de Corée, mini-guides thématiques de la culture coréenne pour accompagner la découverte du pays. Edition 2, décembre 2021 - 12x17 cm 300 pages - 17,90 euros/18 000 wons Couverture brochée, quadrichromie - 979-10-91555-69-2 |
Voici à quoi ça ressemble !
L'équipe
Nos autrices et collaborateur.rice.s !
Ce guide est un projet collectif. Dans l'aventure, Laurianne et Lise ont accepté de jouer le rôle d'autrices du texte, accomplissant la rédaction, mais aussi l'immense travail de collecte de l'information. Pour les aider à cette tâche et faire l'interface entre tout le monde, Solenn a joué le rôle d'éditrice avec ses qualités organisationnelles hors pair ! Rozenn est l'illustratrice, repérée sur Instagram, qui a donné le ton graphique de l'ouvrage. Thétys, graphiste et illustratrice, a prêté son talent pour les cartes et autres petits détails iconographiques. Ce sont pas moins en tout de 8 personnes qui ont été mobilisées pour réaliser ce "grand petit" livre : bravo à tou.te.s et surtout gomawo, 고마워... merci !
Lise Bouchereau
Lise a découvert la Corée en 2015 lors d’un échange à l’université Hankook des études étrangères (HUFS) dans le cadre de son cursus à Sciences Po Lyon. Assez peu au fait des petites différences qui changent tout entre la France et la Corée, elle a petit à petit appris à déjouer les embûches en tout genre, grâce à des ami·e·s coréen·ne·s en or et beaucoup (beaucoup !) de chance !
Durant ses différents séjours à Séoul, elle s’est engagée auprès de plusieurs ONG et a découvert le milieu associatif et militant de la capitale et a créé des amitiés inoubliables. Ces expériences lui ont permis de sortir des sentiers battus et des quartiers internationaux de la ville pour s’aventurer dans des boui boui de la périphérie et se perdre (souvent) dans des villes de province au charme singulier. Elle a notamment effectué une enquête de terrain sur le rapport entre nationalisme et gastronomie en Corée du Sud et ainsi fréquenté de nombreux restaurants, pour le bien de la recherche ! A présent, incollable sur les playlists des noraebang et les stations de métro de la ville, elle partage avec vous ses bons plans pour que vous puissiez à votre tour avoir votre propre expérience de la Corée. |
Laurianne Trably
Laurianne est arrivée en Corée du Sud à 16 ans, pour un échange dans un lycée coréen de la ville de Pyeongtaek. Le choix de la Corée était un hasard pour elle : c’est donc avec beaucoup de naïveté, mais aussi beaucoup de curiosité qu’elle a découvert la culture coréenne. Elle est passée par de nombreuses galères : se perdre dans le métro sans parler un mot de coréen, oublier son portefeuille dans un taxi, se faire avaler sa carte bancaire dans un distributeur automatique un jour férié et bien d’autre encore, pas toujours avouables…
Depuis 2011, Laurianne est retournée plusieurs fois en Corée du Sud, pour travailler ou étudier pendant de longs mois. Ce temps passé en Corée lui a permis de réaliser un travail de recherche sur les pratiques numériques des Coréens, que le moteur de recherche Naver News rend si particulières. Mais avant tout, elle adore recevoir la visite de sa famille et de ses amis français. Quelle que soit la longueur de leur voyage (et même pour une escale de moins de 24 heures !) elle aime les guider dans Séoul pour leur faire découvrir les temples à l’heure de la prière, les cafés cachés dans des maisons traditionnelles, ou bien tout simplement pour discuter pendant de longues heures à la lueur vacillante des lanternes des rivières … |
Solenn Briodin
Pour Solenn, la découverte de la Corée s’est faite à travers les drama, qu’elle a passé des heures à dévorer. Tout lui paraissait nouveau et passionnant : la culture, si différente, la nourriture alléchante, les modes de commensalité (ne pas pouvoir se servir un verre d’alcool, vraiment ?), les relations interpersonnelles (le profond respect de la hiérarchie, complètement absente de son quotidien), le folklore (dokkaebi, gumiho et guisin n’ont plus de secrets pour elle !) et évidemment l’histoire. Historienne de formation, Solenn s’est plongée avec délice dans les drama historiques, puis dans les livres, remontant jusqu’à la période des Trois Royaumes afin de mieux comprendre les enjeux de la Corée actuelle.
Au bout de trois ans, elle a décidé de venir y passer des vacances. À peine arrivée, elle se sentait chez elle, reconnaissant les rues, les bâtiments, l’ambiance, évoluant avec joie dans cette ville qui ne dort jamais, l’explorant de fond en combles. C’est ce voyage qui l’a incitée à s’inscrire en licence de coréen, puis à aller y vivre pendant une année, d’abord en tant qu’étudiante en échange à l’université Sungkyunkwan (le rêve, après avoir passé des heures devant Sungkyunkwan Scandal), puis en tant que stagiaire à l’Atelier des Cahiers, teaching assistant d’une professeure de droit coréenne et manageuse d’une auberge de jeunesse dans le quartier de Hongdae. Ses séjours ont été ponctués de nombreuses escapades dans des zones peu connues de la Corée. En rentrant en France, elle n’a pas pu se détacher tout à fait de ce pays : elle a donc intégré le comité éditorial de l’Atelier des Cahiers et a écrit un mémoire sur le mouvement d’indépendance coréen du 1er Mars 1919, en continuant à y retourner régulièrement. |
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Portraits des autrices © Atelier des Cahiers et Thétys Viot, 2019
Rozenn Podeur
© Rozenn Podeur, 2019
Juriste de jour, artiste de nuit, le cœur partagé entre Séoul et Paris, Rozenn est une nomade curieuse et rêveuse qui illustre des scènes de vie avec légèreté et humour.
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Thétys Viot
Thétys, formée à l'école Brassart de Tours, est une illustratrice-graphiste de la région nantaise. Après quelques années en agences de pub elle s'installe à son compte en 2017. Elle s'exprime le plus souvent en digital, mais apprécie tout autant les techniques traditionnelles quand le sujet s'y prête. Curieuse et touche à tout, elle aime s'essayer à différents styles et se plait aussi bien à l'illustration, au graphisme, qu'aux storyboard. Entre autre, elle illustre des vidéos explicatives, des livres pour enfants, des couvertures de roman. thetysillustration.mystrikingly.com |
© Thétys Viot, 2019
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Sans oublier notre stagiaire, Jonas Riguet
Étudiant en dernière année de communication visuelle, au Lycée des métiers d’art Du Guesclin d’Auray, Jonas Riguet se perfectionne dans plusieurs secteurs grâce aux périodes de formation en milieu professionnel dont celui effectué chez Qualia Carta pour le compte de l’Atelier des Cahiers où « j’ai pu découvrir le parcours d’un livre de A à Z. Je suis très fier d’avoir pu collaborer à Gomawo, notamment pour tout ce qui concerne le chemin de fer général et l’habillage graphique ».
Étudiant en dernière année de communication visuelle, au Lycée des métiers d’art Du Guesclin d’Auray, Jonas Riguet se perfectionne dans plusieurs secteurs grâce aux périodes de formation en milieu professionnel dont celui effectué chez Qualia Carta pour le compte de l’Atelier des Cahiers où « j’ai pu découvrir le parcours d’un livre de A à Z. Je suis très fier d’avoir pu collaborer à Gomawo, notamment pour tout ce qui concerne le chemin de fer général et l’habillage graphique ».
© Atelier des Cahiers, 2019